One step beyond


This post should be written after our introduction but maybe it's going in the way of our rational methodological but diffuse approach.

  • remember: Gottfried Semper's "die Wand" and "das Gewand"
  • remember: Mies vander Rohe's conception of the "open plan"
  • remember: Le Corbusier's "plan voisin" for Paris
  • remember: Le Corbusier's "chemin des ânes"
Remember those things ist not a reactional apology of the past but a sad look on today's opposition, and not confrontation, brought by each "novelty". Maybe it's an error but still having the feeling seeing each time one step back.
This not an epidermic intellectual reflex but a sensorial one. To understand this, an introduction is necessary; coming soon.

SWARM (SRF) QUARTER 3

Same example, same process but this time with a tesselated mesh (Delaunay). Controled by the locust agent based system. Coupled with an obturation opening system.

SWARM QUARTER 2

- Here, the simple grid base of the quarter combined with locust tool.
It the flowing particles allow to control height and density variable according to agent density and proximity.

- A way of controlling data migrating or in continuous mutation into a materialized and adaptative model.

- The swarm is controlled and attracted by a simple positive/negative pole system. these points can be moved instantly to change the swarm target.

SWARM QUARTER

Major basic examples of density... Testing to manipulate simply sine curvatures , tangent curves, ponctual pics, subdivisions etc.  This basics is an introduction to a series of tests on how an abstract urbanism can react to an exterior factor or variable parameters and how floor area ratios can be dispatched in different ways...

gradiant
punctuality

subdivision

double curvature
randomness

Façade Pixel

La façade est plus ou moins l'identité du bâtiment : on se souvient rarement de sa toiture, de ses fenêtres, ou bien de son sol, à moins que ceux-ci ne présentent un caractère monumental. Ce dont on se souvient, c'est la façade. D'ailleurs, pour la plupart des bâtiments, on ne rentre même pas dedans, on se contente d'un regard extérieur.
On vit une époque qui tend à être de plus en plus virtuelle et digitale. D'un côté, les gens partagent une quantité d'informations phénoménale par le biais d'un support virtuel. L'espace virtuel devient alors une composante majeure dans la société actuelle. D'un autre côté, les conceptions génératives en architecture, qui permettent la genèse d'un produit quasi-aléatoire dans un but souvent esthétique ou fonctionnel.

Croisons ces observations pour n'en faire qu'une :
- La façade est ce dont on se souvient
- Les gens partagent l'information grâce aux nouvelles technologies
- La conception générative permet un résultat pseudo-aléatoire, donc unique en un sens.
Faisons de la façade le support de l'information virtuelle du bâtiment.

A la manière des flashcodes que l'ont scannent grâce aux smartphones, la façade DEVIENT le flashcode.

On génère une façade "pixel" qui devient alors support de toute l'information du bâtiment : programme, matériaux, architecte, plan, calendrier des évènements s'il s'agit d'un équipement public. Accessible n'importe quand, on peut alors se renseigner sur le contenu d'un édifice simplement en passant devant et en scannant la façade.
La transmission de l'information architecturale est ainsi possible pour n'importe qui.







Option A : variation de la couleur


Option B : variation de la forme






SWARM INTELLIGENCE

Kokkugia - SWARM URBANISM

Le comportement collectif apparaît comme un désir individuel de rester groupé. Tout en restant voisins et en évitant les collisions. Le retour d'information positif arrive parce que le comportement de chacun affecte ses voisins et vice versa.
Un comportement émergent ou propriété émergente peut apparaître quand un certain nombre d’agents opérant dans un environnement, des comportements plus complexes forment comme un collectif. Si l’émergence se produit sur différentes échelles, alors la raison est généralement une relation causale à différentes échelles.
Par exemple, les fourmis forment une ligne depuis leur source d’alimentation en mettant une traînée de phéromone, c'est-à-dire un produit chimique auquel d'autres membres sont sensibles. Chacune dépose une certaine quantité en marchant et chaque fourmi préfère suivre une direction riche en phéromone. Cela permet à la colonie de fourmi de rapidement trouver le parcours le plus court. Les premières fourmis à revenir devraient normalement être ceux sur le parcours le plus court, donc ce sera le premier à être doublement marqué par la phéromone (une fois dans chaque direction).  The Genius of Swarms - National Geographics.
 Comportement collectif de fourmis
Image schéma 1

Image schéma 2


 Ce phénomène a déjà transformé un certain nombre de disciplines comme en biologie et en économie. Mais comment peut-il contribuer à l’architecture ?
La ville fonctionne comme un système dynamique, basé sur des interactions entre voisins, des boucles d’aller-retour d'information, de reconnaissance de formes et de contrôle indirect. Comme n'importe quel système émergent, la ville est un modèle sur une temporalité.
La ville fonctionne de la même manière que le phénomène émergent de « nuée » ou d’ « essaim ».
Quand nous observons un environnement urbain du point de vue d'une architecture de nuée nous ne voyons plus d’objets isolés, au lieu de cela nous voyons des objets qui sont en relation les uns avec les autres. La planification urbaine basée sur l'essaim est un jeu de conception très dynamique basé sur une recherche de protocole.
Les phénomènes de nuées résistent intrinsèquement à l'articulation de hiérarchies dans l'architecture Moderne et des assemblages de composants paramétriques contemporains.
Bien qu'il n'y ait aucun contrôle centralisé dictant le comportement des agents, des interactions locales parmi les agents causent souvent l’apparition d'un modèle global. On retrouve de tels systèmes dans la nature, comme les colonies de fourmis, les nuées d'oiseaux, les abeilles, des bactéries… en société comme les mouvement de foule, rassemblements, flashmobs... dans les villes comme Bangkok, les favelas, les Hutongs chinois, les villes médiévales…
Si les villes et les logiciels numériques montrent une logique émergente semblable, comment pourrions-nous nous servir de technologies numériques au service de la ville et de l’architecture?